Maciocia et Desriveaux remercient Anthony Calvillo
Montréal, le 21 janvier 2014 – L'entraîneur-chef des Carabins de l'Université de Montréal Danny Maciocia, ainsi que l'entraîneur des receveurs Danny Desriveaux, ont tenu à souligner le départ à la retraite du quart-arrière étoile des Alouettes de Montréal, Anthony Calvillo, après l'annonce faite aujourd'hui. Les deux membres des Bleus ont eu l'occasion de côtoyer Calvillo au cours de leur carrière respective dans les rangs professionnels.
« Anthony était un joueur toujours très professionnel, a souligné Maciocia, qui a fait partie du personnel d'entraîneurs des Alouettes de 1996 à 2001, dont la dernière saison en tant que coordonnateur offensif. Il arrivait toujours bien préparé. Il était toujours le premier arrivé et le dernier à quitter. C'était un gars respecté et j'ai beaucoup appris de ma relation avec lui, alors que je faisais mes débuts comme entraîneur. Ça a été bon pour ma carrière et j'ai pu partager ces connaissances au cours de mon cheminement. »
Il ne fait aucun doute qu'Anthony Calvillo a contribué à la popularité du football à Montréal. Il s'est joint aux Alouettes en 1998, quatre ans avant le retour de l'équipe de football des Carabins en 2002.
« Il est impossible de nier la contribution d'Anthony à la popularité du football au Québec, a dit Danny Desriveaux, qui a joué aux côtés de Calvillo de 2007 à 2011. C'était un joueur exceptionnel, le meilleur des exemples à suivre à mon arrivée chez les professionnels. Si on demande à n'importe qui de nommer un joueur des Alouettes, on pense à Anthony Calvillo.
« Il a aussi influencé beaucoup de jeunes comme moi à s'intéresser au football. Lorsque Calvillo et les Alouettes ont gagné une Coupe Grey en 2002, je débutais à l'université et je crois que plusieurs jeunes ont aspiré de jouer un jour avec les Alouettes en voyant ça. »
« Je lui souhaite beaucoup de santé et de pouvoir passer beaucoup de temps avec sa famille parce que je sais que c'est important pour lui, a ajouté Maciocia. J'espère qu'il ne s'éloignera pas trop du football, car notre sport a besoin de lui et il a besoin du football. »
Source : Mathieu Dauphinais, agent d’information sportive